20 Novembre 2010
Depuis leur sauvetage, en octobre dernier, les mineurs chiliens piégés pendant des mois sous terre ont vécu l'expérience qui les marquera à jamais.
Reprenant paisiblement pied dans la vie, c'est alors que l'un d'entre eux raconte le calvaire vécu par l'un d'entre eux. Une histoire terrible que les autres mineurs ont mise sous silence devant les médias mais aussi leurs familles, amis et même garagistes. Une histoire que nous vous dévoilons ici, en exclusivité, en nous appuyant sur des clichés pris dans l'obscurité la plus totale depuis un téléphone portable d'un mineur qui a tenu à rester anonyme. Cette source a tenu à nous commenter ces photos afin que nous puissions comprendre toute leur horreur.
Pour cette raison nous tenons à remercier notre mystérieux et courageux contributeur Antonio Goncalvez l'un des mineurs rescapés.
[traduit de l'espagnol] Le violeur, Ramirez (1) qui était le chef de Pédro (2) avait pris pour habitude de dormir non loin de sa future victime.
Le 16 septembre, profitant que pédro (2) se douchait, Ramirez (1) en profita pour s'approcher subrepticement.
Et avant que Pédro n'ait pu réagir, Ramirez pratiqua sur lui ce qu'on appelle chez les mineurs chiliens "le titillage d'orifice" suivie de "l'excavation sauvage".
Immédiatement réveillés par les cris, les autres mineurs assistèrent médusés au début du supplice de Pédro.
Ce fut impuissants qu'ils furent témoins du long viol de Pédro. Le calvaire pour Pédro durera des heures et sera encore plus éprouvant pour les spectateurs de la scène. "Nous étions très fatigués. Nous avions hâte que ça se finisse pour aller nous coucher. S'il y avait eu de la lumière, je pense que j'aurais pu lire de la fatigue sur le visage de mes compagnons" précisera Antonio Goncalvez notre source anonyme.
Après 2 heures de supplices qui leur aura semblé aussi long qu'un interrogatoire de police, les mineurs choqués par tant de violence sexuelle finissent par s'endormir pour exprimer leur profond désaccord. Ils seront rejoints dans leur sommeil par le bourreau épuisé et sa victime choqué et traumatisé autant dans sa tête que dans son derrière.
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